Bientôt janvier et la fin des bilans. Déjà ?! Vite, vite, vite... !
Le rush a repris. Après l’accalmie de Noel, période où on se retrouve, « on se lève à l’heure où on se réveille », la vie professionnelle reprend tous ses droits. La course « au delà de nous ».
En bons enfants de Bourgeron, nous cultivons notre nature de « Passagers du vent ». Nous courons à nos moissons, à nos opportunités, en évitant de sombrer dans "les mondes engloutis".
Un peu de challenge par ci, un peu de FOMO par là ,un peu d’opportunités et de transcendance. Mais là, tout près… on sent leur souffle chaud qui nous aspire. Tapis dans l’ombre, les VORTEX nous guette.
Et aspirent.
En janvier, les choses se remettent en place. Mais le risque c’est que nous un peu moins.
« Toutes nos défaites ont faim de nous » disait Jean Jacques Goldman (oui on aime bien Jean-Jacques au Mojo Club). Nos courses du quotidien aussi.
Comment faire pour remettre de l’oxygène au sein de nous?
Avoir du temps de suspens. Du temps à rien. Du temps pour re-régler nos respirations.
Et si on se trouvait de quoi bloquer ce temps là en premier lieu ? Pour protéger ses poumons, pour cultiver notre respiration, sans qui rien n’arrive. La semaine est à l'esquive du Vortex.
Tips pour battre le Vortex : Banzaï !
A trop vouloir en faire, on finit par pédaler dans la semoule ? Comment échapper aux vortex dans son activité au quotidien ? Anaïs Coulibaly nous donne une bonne recette, donnée par sa soeur, pour mieux gérer son "leeloomultipass".
Sortir de sa course à la productivité ? Thomas Lauféron nous interpelle sur l'importance de se reconnecter pour être productif. Parce que bien travailler, c'est faire le point et se donner les moyens d'avoir du discernement. Parce bien travailler, c'est par moment ne rien faire.
La leçon de la Papaye Verte
L’Odeur de la papaye verte est un vieux film. Enfin pas tant que ça… Mais il renvoie à un rythme ancien, lent. Où le personnage principal, Mùi, épouse la lenteur de sa vie de servante au sein de la maison de ses maitres. Mais derrière sa condition et sa servitude, Mùi a un don : celui d’observer le présent. D’aiguiser son regard et ses sens pour saisir ces ingrédients magiques dont recèle le réel. Et en faire une énergie qui la propulse et la nourrit.
Sa vie dans le Saigon des années 1950 n’est pas un tourbillon : mais sa capacité à s’extraire des contraintes négatives et de cultiver son art d’être présente lui donne une force qui interpelle jusqu'à ses propres maîtres. De l’art d’échapper à sa servitude.
Ne pas oublier l’introspection collective ?
Pour finir sur l’esquive du vortex cette semaine, le témoin est passé à Joel sur l’importance de se « recentrer ensemble ». Une anomalie ? Recentrage veut dire forcément solitude ? Pas nécessairement. Fondateur de Maia Village, Joel nous parle du sens de l’introspection collective… et ce qu’elle amène d’incontournable à un collectif en mouvement. Bonne fin de semaine ! Et n’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter pour les bonus !
C’est tout pour cette semaine !
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